L’homéopathie, l’alternative douceur

Publié le 17 juin 2015 à 13:47 Mis à jour le 2 juillet 2015 à 16:05
Arthrose et homéopathie
Si vous craignez les effets secondaires des médicaments, tentez l'homéopathie. A adopter en crise et en traitement de fond.

Pourquoi c’est efficace ?

Cette thérapie s’appuie sur ce principe que rappelle le Dr Pacaud : « La disparition des symptômes d’une maladie peut être obtenue par la prescription, à doses faibles ou infinitésimales, de la substance dont les symptômes expérimentaux chez l’individu sain sont semblables à ceux du malade. » Les médicaments homéopathiques sont issus de la dilution de la teinture mère d’une substance (végétale, minérale, animale) de 10 en 10 ou de 100 en 100. 1 millilitre de teinture mère mélangé à 99 millilitres d’alcool donne une première dilution au 1/100e. Pour chaque dilution successive au 1/100e, on parle de CH, et pour une dilution au 1/10e de DH.

Pour quel niveau de douleurs ?

L’homéopathie est préconisée tant pour les crises qu’en traitement de fond. Le traitement peut être associé à un autre, complémentaire, ciblé sur une zone particulière.

Quel traitement ?

Posologies : 5 ou 7 CH, à raison de 5 granules 2 ou 3 fois par jour.

Douleur améliorée par le repos, Bryonia.

Douleur atténuée par le mouvement,Rhus tox.

Crise en période humide, Natrum sulfuricum.

Traitement de fond pour restaurer le terrain : alterner Bryonia, Rhus tox, Natrum sulfuricum, Kalium carbonicum ou Thuya (1 dose ou 5 granules par semaine en 15 CH).

À associer, suivant la zone, à un traitement dosé à 9 CH.

Cou et dos : Ferrum phosphoricum ouActaea racemosa.

Hanche : Causticum phosphoricum.

Genou : Kalium carbonicum ou Benzoïcum acidum.

Mains et pieds : Actaea spicata ou Antimonium crudum.

Lombaires : Radium bromatum.

Poignets et chevilles : Actaea spicata ouCaulophyllum.

Épaule : Rhus tox.

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